CHRISTOPHE PEYRAT S'ECLATE SUR L'ULTRA VTT CAUSSES ET VALLEES LOT DORDOGNE CE DIMANCHE 14 AVRIL

CAHORS (46)

dimanche 14 avril 2019

ULTRA VTT CAUSSES & VALLEES LOT DORDOGNE

Christophe PEYRAT s'est offert un raid VTT à la mesure de son talent

Christelle vous offre ci-après un résumé du périple de Christophe sur cet ULTRA VTT "musclé" :

Récit ponctué de photos prises sur le site de l'organisateur.

Après un entraînement intensif de plus de 3 mois, l’échéance arrivait à son terme. J’étais prêt pour l’Ultra VTT Causses Vallées Lot Dordogne de 180 Km / 3702m D+ / 3702D- en ce 14 avril 2019.

Le tracé de l’Ultra VTT Vallées Lot Dordogne montre différentes facettes des paysages du département du Lot. Le tracé fait une belle place au Parc naturel régional des Causses du Quercy “Géoparc mondial UNESCO”. Les participants vont au fil de leur cheminement à la découverte des Causses, plateaux secs et minéraux. Cette dalle calcaire des causses est entaillée par les vallées vertes et majestueuses du Lot et de la Dordogne, par celles plus sauvages du Célé et du Vers, mais aussi par les impressionnants canyons de l’Ouysse et de l’Alzou. Autant de territoires traversés qui proposeront au fil du parcours une diversité de paysages étonnants. 180 kilomètres de chemins et singles qui amènent les participants de villages en villages à la découverte de Cahors, St Cirq-Lapopie, Cabrerets, Gramat, Rocamadour, Labastide-Murat et Vers pour retrouver Cahors la ville de départ.

La nuit fut courte. Réveil à deux heures pour un départ à 3 heures du matin au stade Delprat à Cahors.

A l’annonce du départ 130 Vttistes s’élancèrent. Je roula un petit moment avec Laurent Girardie du club de Miramont de Guyenne.

Dès les 1er kilomètres, la couleur était annoncée de longues côtes pendues avec son lot de chutes.

L’objectif allait être de gérer l’effort afin de pouvoir finir. Les kilomètres s’enchaînaient dans la nuit et la compagnie de vttistes se faisant rare La solitude commençait à se faire pesante.

A la lueur du lever de soleil, de magnifiques paysages s’offraient à nous. Cependant le froid devint saisissant.

Le prochain ravitaillement se trouvait à une trentaine de kilomètres.

J’accélérais le rythme afin de me réchauffer. Aux 90ème kilomètres enfin le ravitaillement, j’aillais pouvoir me changer, me restaurer… Je reparti splein d’entrain.

Je retrouvais de temps à autres des acolytes faisant un bout de chemin en leur compagnie.

Aux 130ème kilomètres le dernier ravitaillement. Les températures étaient devenues plus clémentes.

Les kilomètres défilaient sans que je ne ressente trop de fatigue.

Dans les 30 derniers kilomètres nous amorcions la descente vers Cahors offrant des chemins très roulants. J’accélérais la cadence, le plus dur était fait.